So' le p'tit bouchon.

~ Vous ~

Prénom: Sophia
Age: 17 ans
Caractère: Enjouée, franche folle & méchante parfois.
Personnage préféré dans Fma: Ed' =)
Manga(s) préféré(s): Votre ou vos manga(s) préféré(s), vos coup de cœur du moment, etc... : Hmmm Bleach, Death Note, D.Gray-man :D

~ Votre personnage: Info ~

Nom: Anderson
Prénom: Soren
L'age: 20 ans
Date de naissance: Le 02 janvier 19xx
Statuts: Militaire? Civil? Alchemist d'état ou Alchemist tout court? Militaire.
Code 1: code valide
Code 2: Code Valide

~ Votre personnage : Description. ~

Caractère: Soren est calme est impassible. Vous ne verrez que peu de fois se dessiner sur son visage de marbre une fissure que l'on appelle communément "sourire".Il n'y paraît pas mais il a un don, un don d'empathie, ce don qui vous permet de ressentir les émotions humaines, les troubles et les changements d'humeur de chacun, un don, presque une malédiction. Chaque mouvement de cœur d'une personne voisine provoque un raz de marée émotif chez lui, un amplificateur de sentiments, tel est Soren. D'où sa personnalité plutôt discrète et effacée, il n'aime pas beaucoup se faire remarquer ni se mêler à la foule de peur de ressentir trop d'émotions à la fois. Cependant, il n'est pas méchant pour deux sous et s'ouvre très facilement aux peu de personnes qui s'aventurent dans les méandres de sa personnalité. Généreux, il donne tout et ne garde rien, bien évidemment, il n'est pas matérialiste et se contente de peu, simple, un mot qui le définirait à merveille quant à sa relations aux choses de la vie. Psychologiquement, s'en est tout autrement. Un esprit complexe et indicible, maniaque, il est pris de nombreux troubles du comportement, il ne supporte pas le désordre, n'importe quel désordre. Il faut le voir rentrer dans un bureau bordélique pour comprendre... Il triera chaque dossier, chaque page par ordre alphabétique et par année. Un grain de poussière et il dégaine son mouchoir. Il reste pourtant d'un sérieux inébranlable, tellement qu'il devient plus effrayant que risible. Lorsqu'il vous parlera il semblera pourtant normal mais dans sa tête, il analysera chacun de vos mots et de vos émotions, un vrai détecteur de mensonge ambulant. Soren, sait rester calme en toute situation, il est tellement déconnecté du monde réel qu'il saura se positionner hors des positions de panique pour trouver une solution, LA solution la plus efficace au problème, esprit mathématique et logique.. Il n'en reste pas moins un humain qui vous cachera au possible ses facultés intellectuelles et sensorielles hors du commun. Il ne ment jamais Ô grand jamais, hors de ses principes, il est franc et ne cache pas ce qu'il à a dire malgré ce que ceux qui ne le connaissent pas appellent de la timidité.

Physique: Ce jeune homme que vous apercevez de loin, habillé d'un costume gris et d'une chmise noire surplombée d'une cravate plus ou moins du même gris que le reste surplombant une paire de mocassins noirs , de sa démarche de conquérant, vous direz au premier abord qu'il est très fier de sa personne? Non. C'est juste un souvenir d'enfance d'un gamin trop obéissant. Une simple visite chez le médecin qui lui avait dit de se tenir droit quand il marchait, de bomber le torse et voilà le résultat, i la toujours obéi aux ordres, toujours. Lorsqu'il s'approche un peu plus de vous vous distinguerez une chevelure blonde tirant dangereusement vers le cuivré au soleil. Et parmi le teint pâle de son visage, vous verrez deux phares bleu, deux yeux d'un bleu entre le clair et le foncé, neutre. Des yeux vitreux exprimant son caractère blasé et in intéressé des choses qui l'entourent. Vous l'aurez compris, Soren n'est pas un contemplatif. Lorsqu'il marche, il regarde droit devant lui, ni plus, ni moins. Sa peau, douce et fragile telle celle d'un bébé est significative de son métabolisme, faible. Il n'est en effet pas taillé pour le combat. Ce n'est pas non plus un gringalet, son corps malgré qu'il soit fin, est parfaitement bien dessiné de nature sans qu'il n'aie à l'entretenir. Il à une silhouette athlétique de naissance, c'est comme ça et c'est bien mieux ainsi pour quelqu'un d'aussi rédhibitoire au sport. Ses membres sont longs et à son image: longilignes. Ses longues mains reflètent la pratique du piano depuis sa tendre enfance, seule activité qu'il aie jamais pratiqué en dehors du raisonnement et de l'arithmétique. Ses jambes l'emportent dans de longues et belles foulées, le rendent léger et donnent l'impression qu'il s'envole quand il marche. Il dégage un charisme impressionnant par rapport à son caractère. Il attire la curiosité au possible, oui, quand on le voit, on a envie de le connaître -Ou pas. Les peu de fois ou son masque de pierre se brise dégagent une impression de rayonnement, son sourire est tout simplement éclatant et réchauffant, un sourire comme on voudrait en voir plus souvent me direz vous.

Histoire: On ne connait que peu de l'histoire de Soren qui se révèle être assez noire.
Une sonnerie. Une porte s'ouvre. Personne. Un regard vers le bas permet d'identifier ce qui ressemble fort à un landau. Un bébé! Oui, un bébé que ces individus dont on se soucie peu de leur identité appellerons Soren. Prénom atypique de la région, la Norvège. Emmitouflé dans des couvertures aux brodures qui laissent à penser que les parents biologiques avaient de quoi vivre plus que convenablement et un écusson sur le landau qui ne ressemblait à rien de connu. Soren y avait pensé, à retrouver ses parents biologiques grâce à ce signe mais rien. Continuons donc cette promenade temporelle aux rives de la vie de ce que nous pouvons sans conteste appeler un orphelin. Ces ingrats l'appelèrent donc Soren et lui donnèrent allègrement leur nom : Anderson. Ils tentèrent de l'élever du mieux qu'ils purent -dans ce cas, dans la pauvreté et l'insanité de leur bicoque puante et insalubre- du moins, c'est ce qu'ils laissaient entendre au voisinage qui se laissait trop facilement attendrir par des sourires mielleux et une histoire à faire pleurer une pierre tombale. Ils se donnaient l'image d'un couple modèle au civisme irréprochable et à la générosité sans limites. car oui, ils avaient recueillis sous leur toit un enfant venu de nulle part par simple générosité. Ce qu'ils omettaient presque -TOUT LE TEMPS- de dire est qu'ils vivaient dans l'espoir que les parents du nouveau né vinrent un jour à leur rencontre et les remercier de leur hospitalité envers leur bienheureux fils unique et qu'ils les raviraient par de fortes sommes d'argent. Mais cela n'était qu'un rêve. et une fois l'enfant pris à charge, impossible de se rétracter aussi, ils firent payer au petit Soren la non venue de ses parents. Soren qui déjà enfant était assez développé intellectuellement en comparaison avec ces primates qu'il avait pour pseudos parents. D'ailleurs, -honte sur moi- j'oubliais de préciser qu'il vivait entouré de trois petits garnements répondants aux doux -comprenez l'ironie- prénoms de Marx, Helsa et Victorio. Trois affreuses têtes rousses qui avaient pour passe temps de se moquer à longueur de journée de Soren. Oh oui, il aiment se rire de celui qui, en ne faisant absolument rien d'autre que d'exister les mettait à l'ombre... En effet, à l'école Soren était un élève parfait. Des capacités intellectuelles et de raisonnement incroyables disaient tous ses professeurs qui convoquaient à chaque fois les deux bougres de beaux parents pour leur en faire part. Ces derniers se vantaient des mérites du petit tout en ne se rendant même pas compte qu'ils n'étaient pas crédibles pour deux sous. Il suffisait de jeter un bref coup d'œil à l'accoutrement de Soren pour s'en rendre compte. Des vêtement, ou plutôt des guenilles trop grands pour lui qu'il avait hérité de ses "grands frères ". Heureusement pour lui ,sa tête le sauva. Il fut remarqué lorsqu'il grandit pendant des examens pour rentrer dans une grande école de la ville. Ses résultats battant tous les records, le général de l'armée lui même vînt pour l'enrôler à ses cotés. Un cerveau tel que le sien n'était pas négligeable au vu des sombres évènements qui se profilaient. Soren comprenant et repérant immédiatement une occasion de s'évader de sa prison accepta tout de suite. Le voilà donc enrôlé dans l'armée et impliqué dans ce terrible conflit...

~ Votre personnage : Famille ~

Père: xxx
Mère: xxx
Frères: xxx
Sœurs: xxx
Tante, oncle, beau-frère, belle-soeur, parrain,etc... : xxx
Situation familiale: Orphelin.

Je validounnnneee Tu as quel grade dans l'armée??

Un grade assez important vu les prédispositions à la prise de décision et à l'élaboration de stratégies. Je vous laisse le bon soin de choisir ^^

jvais en discuter avec Ed'

Bienv'nu ! Superbe présentation, je n'ai rien a dire !
^^

Pour le grade, j'en sais rien... Tu dirais quoi toi Aka-chan?

Merci ^^

bienvenu ^^

Général de Brigade

J'approuve !
Aka-chan, tu t'occupe du teste de rp s'il te plaît?

Yes sir

Personnages: Soren, bien évidement, Edward, une chimère de type humanoïde (celle que tu veux)
Situation: Soren reçoit l'ordre de ratraper une chimère en cavale, tu es sur le point de la ramener au labo mais Edward s'interpose.
Nombre de lignes: comme je te connais et que je sais ton niveau on va monté la barre: 50 lignes (mais je sais que tu y arriveras xD)
Évaluation: A laisser vide, je compléterai lorsque j'aurai lu votre teste de rp ^^

*Fais chier, j’aurais pas pu tomber sur pire…*

En effet, le généralissime l’avait mis à contribution… Une fois encore, on y pouvait rien s’il était un membre digne de confiance. Encore une de ces satanées chimères en cavale, ces temps-ci, elles avaient la fâcheuse manie de s’échapper des laboratoires et de filer. Le problème ne venait surement pas d’elles mais de la bande de bras cassés chargés de la surveillance des labos, rien qu’un étalage de lourdingues passant leur temps à jouer à la bellotte basque, manger et dormir, croyant que leur travail se résume à porter les clefs des cellules. Pour sur, cette mission l’avait tellement irrité que Soren irait directement voir ces incapables histoire de leur remettre les pendules à l’heure. Ce n’était pas qu’il rechignait à la tâche mais, il avait autre chose à faire que de courir après ces fichues bestioles hybrides qui n’avaient, il fallait le dire, aucun intérêt à ses yeux. Il était un homme de savoir, pas un homme de terrain.

Il était donc à la recherche de ce monstre si insignifiant, il avait reçu quelques informations disant qu’il se trouvait dans le quartier Ouest de la ville. Encore plus compliqué, comme si cela ne l’était déjà pas assez, cette chimère était de type humanoïde et ressemblait donc partiellement à un humain. De sexe mâle, assez grand et brun… autant dire une grande partie de la population de sexe masculin. Il n’y avait qu’une seule chose qui pouvait ravir Soren, c’était que cette bête ne maîtrisait pas ses pouvoirs et était particulièrement inoffensive puisque uniquement utilisée comme cobaye sur des expériences médicales. C’était bien pratique, il avait en grande partie la même ADN que l’homme, cette fabuleuse petite molécule universelle qui vous ouvre tous les sésames… La science avait toujours fabulé Soren et il avait une foi presque divine en elle. Qu’est ce qu’elle ne pouvait pas accomplir, tout leur environnement n’était que le fruit de la science, l’enfant du plus ancestral des arts, le développement. Il parcourait lentement les rues du quartier sombre, tout en divagant sur les bienfaits de la science et en se confortant dans ses idées disons extrémistes sur le domaine scientifique. Il avait rentré son menton dans le col de son éternel caban gris et ses cheveux blonds cuivrés étaient surplombés d’un chapeau de la même couleur que son manteau, très monochromatique, parfait la nuit… Les mains dans les poches, il parcourait les ruelles toutes plus sombres les unes que les autres, les bouches d’égout dégageaient une odeur des plus terribles, presque une odeur de cadavre en décomposition, joyeuse atmosphère tout ça. Cette chimère de malheur n’aurait-elle pas pu se contenter de se réfugier dans une association de sans abris ? Non, il fallait croire le contraire, ces choses aiment se mettre dans des endroits plus désagréables les uns que les autres.

Le regard de Soren se baladait de gauche à droite, scrutant le moindre recoin, ses oreilles étaient à l’affut du moindre bruit et ignoraient les supplications de ces vulgaires clochards qui quémandaient tantôt de l’argent, tantôt à manger, tantôt une goutte d’alcool ou parfois même un semblant de conversation. Le don d’empathie de Soren lui donnait mal à a tête, toute cette souffrance lui tordait le cœur, raison de plus pour accélérer et achever au plus vite cette mission. En effet, il ressentait toutes les émotions autour de lui et décelait la moindre parcelle de sensibilité, une des autres raisons pour laquelle le généralissime avait envoyé ce jeune homme plutôt qu’un autre à la quête de cette chimère, grâce à son fabuleux don d’empathie. Il analysait du regard de l’oreille et du cœur, quand il sentit un appel de détresse à réveiller un loir. Un appel du cœur que lui seul pouvait entendre, il se dirigea furtivement vers la source de cet appel et, à partir d’un coin de rue, apercevait un homme, assez grand, brun et de forte corpulence, aucun doute, c’était son homme, il portait d’ailleurs encore le badge des laboratoires. Il continua lentement d’avancer vers lui, pour ne pas l’effrayer mais l’hybride était tellement perdu dans sa peine qu’il ne remarqua même pas Soren arriver vers lui. Soren qui, souffrait énormément de ce contact, lui aussi avait de la peine, il partageait la souffrance satané empathie, elle avait toujours été une plaie pour lui et encore plus aujourd’hui. Il sentait toutes les souffrances et les rebus du cœur de la créature, c’était horrible, sa tête allait exploser et son cœur avec. Il était maintenant derrière lui, sortit au plus vite son arme et l’assomma. Enfin un peu de paix. Il reprit après quelques instants ses esprits puis, porta la chimère sur son dos avant de repartir vers le QG. Oh grand malheur, le monstre se réveilla en chemin, hurlant et criant. Soren ne décrocha pas un mot, il se contentait de continuer d’avancer sans prendre compte des vociférations du poids qu’il traînait. Cependant, ses cris l’énervaient et l’agitation du trouble-fait se répercutait sur lui. A un tel point qu’il finit par asséner un magistral coup de coude dans les côtes de la chimère, ce qui eut immédiatement pour effet de la calmer, au pire, il avait des seringues de sédatif dans sa poche. Au pire… Le plus étonnant était que Soren, de son petit gabarit arrivait à porter le gros personnage, cela procurait un étrange spectacle pour le peu intriguant.

Intrigue qui troubla à juste titre un jeune alchemiste, une touffe blonde apparut au loin, une touffe blonde que Soren avait bien évidemment remarqué. Génial, en plus de se coltiner ce boulet « presque humain », il héritait d’un alchemist sur le dos et, plus il approchait et plus il lui faisait penser au full métal alchemist. Ses suppositions n’allaient pas tarder à s’élever au rang de certitudes quand le jeune blond qui était à quelques mètres derrière, l’interpella.

« He toi ! Lâche-le tout de suite ! »

Soren avait une ébauche de sourire qui commençait à se dessiner, il sentait la confiance du jeune alchemist ainsi que sa puissance, aucun doute possible à présent, c’était le full métal alchemist. La rencontre devenait de plus en plus intéressante mais ce n’était pas la mission de Soren, il devait simplement rapatrier cette foutue plaie au laboratoire afin que les expériences puissent suivre leur cours. Le jeune homme ne prit même pas la peine de se retourner et continuait d’avancer. Au cas où, il se saisit d’une des seringues de sédatif et l’injecta au monstre sur son dos qui commençait à s’agiter au son de la voix d’Edward. Il sentait la lueur d’espoir qui régnait dans le cœur de la chimère, lueur qu’il extermina grâce à son sédatif. Le jeune alchemiste continuait de parler, bien entendu, il parlait dans le vent, comme si ses maugréassions allaient changer quelque chose à sa vie, ben voyons. Au bout d’un moment, ressentant sans doute la lassitude de courir après un homme qui ne l’écoutait pas, Edward utilisa son pouvoir et transforma son bras. Il le transforma en énorme arme à feu, il commença à tirer une salve de balles d’énergies sur Soren qui les évita avec facilité. Cependant, le lourd poids de l’homme commençait sérieusement à le ralentir et à rendre plus difficile son évolution. Le jeune alchemiste, qui lui était frais comme un gardon continuait à tirer sur lui et à s’agiter à déblatérer des paroles inutiles de jeune homme fougueux et sans doute trop courageux, Soren, exaspéré, se dit qu’il fallait maintenant passer à la vitesse supérieure, sachant que Edward était assez proche de lui, sans doute à 5 ou 6m, il se saisit d’une étrange sphère dans sa poche, sphère qu’il lança sur Edward. Le morceau de métal se déploya dans els airs formant à présent un filet. Un filet plutôt spécial puisque électrisé, il annulait toute formation d’énergie à l’intérieur, le pauvre Elric ne pouvait plus tirer et se retrouvait empêtré dans les filets de Soren. Ce dernier en profita pour aller plus vite et prendre de l’avance sur l’alchemist, après 5 minutes de course folle, Soren, essoufflé et à bout de forces constatait avec plaisir que le jeune alchemist avait perdu sa trace, il ne le voyait plus et ne le sentait plus, une bonne chose de faite.

Enfin arrivé au quartier général de l’armée, il se dirigea en premier lieu vers les laboratoires ou il jeta avec dédain la chimère par terre, au pied de sa cellule. Il fit craquer son cou et décontracta ses épaules qui étaient toutes endolories avec la charge qu’elles avaient porté sur un si long trajet. Il se dirigea ensuite vers les gardiens des cellules. Il les regarda d’un air froid et méchant. Ces derniers lâchèrent leurs cartes et se mirent au garde à vous à la vue de Soren.

«- Général Anderson !
-Rompez. »

Ses yeux étaient vides et dénués de toute expression, il dégageait une impression effrayante et déroutante de froideur. Il prit la parole sa voix était douce mais sans aucun ton particulier, il parlait étrangement bas mais son regard ne changeait pas, on aurait simplement dit une statue de pierre qui parlait. Les sous fifres n’avaient encore jamais eu affaire au général Anderson, ils étaient surpris, étrangement surpris du ton de sa voix qu’ils auraient cru plus autoritaire.

« -Vous deux. Vous croyez que l’on à que ça à faire de courir après vos bavures ?
-Mais...mais gé…
- Tais-toi ! Je ne t’ai pas autorisé à prendre la parole ! Si encore une de ces foutues chimères s’échappe, je m’occupe de vous personnellement… Les scientifiques ont toujours besoin de cobayes et vu votre corpulence, vous serez surement bienvenus auprès des chimères que vous gardez… »

Sur ces dernières paroles, il tourna les talons et alla faire son rapport au généralissime avant de rejoindre ses quartiers. Il ne montrait pas son dépit et son dégoût Ses beaux yeux bleus étaient toujours vides et ses cheveux blonds volaient au rythme de ses pas, le buste toujours droit, toujours, il rentra dans sa chambre, fatigué de tant d’émotions, tentant de vider son cœur des évènements qu’il avait vécu. Tentant de vider se réservoir d’émotions qu’il avait en lui, réservoir rempli par son seul don d’empathie. Il soupira , allongé sur son lit et ses deux paupières fermèrent les phares qui lui ouvraient la porte d’un monde pourri pour lui permettre de s’abandonner à un sommeil profond.

FIN. \o/

Je valide et te met 9/10 parce que j'aime pas mettre 10 xD
Rien n'est entièrement parfait lool.

Amuse toi bien =3
Et bon rp ^^